29 février 2020
Presse et médias

Groupe BASF : diminution de l’EBIT avant effets exceptionnels malgré une amélioration de l’évolution dans tous les segments proches des consommateurs

  • Chiffre d’affaires de 59,3 milliards d’euros (- 2 %)
  • EBIT avant effets exceptionnels à 4,5 milliards d’euros (moins 28 %), en raison notamment de la diminution des résultats de Chemicals et Materials
  • Flux de trésorerie des activités d’exploitation de 7,5 milliards d’euros (- 6 %), flux de trésorerie disponible de 3,7 milliards d’euros
  • Proposition de dividende de 3,30 euros pour l’exercice 2019 (2018 : 3,20 euros)
  • Léger recul du chiffre d’affaires au quatrième trimestre 2019 (- 2 %) et nette hausse de l’EBIT avant effets exceptionnels (+ 23 %)

Perspectives 2020:

  • Augmentation du chiffre d’affaires à une fourchette située entre 60 et 63 milliards d’euros
  • EBIT avant effets exceptionnels entre 4,2 et 4,8 milliards d’euros

 

En 2019, BASF a réalisé un chiffre d’affaires de 59,3 milliards d’euros, le léger recul du chiffre d’affaires par rapport à l’année précédente résultant d’une diminution des volumes et des prix. Le résultat des activités d’exploitation (EBIT) avant effets exceptionnels s’est élevé à 4,5 milliards d’euros, en baisse de 1,7 milliard par rapport à l’année précédente, en raison d’une diminution des contributions des segments Materials et Chemicals.

« Notre entreprise maintient le cap même en temps difficiles. 2019 a été une année riche en défis, marquée par de forts vents contraires à l’échelle macroéconomique », a indiqué Martin Brudermüller, président du directoire de BASF, à l’occasion de la présentation, avec Hans-Ulrich Engel, directeur financier, des chiffres de l’exercice 2019. Les conflits commerciaux qui opposent les États-Unis et la Chine ont eu des répercussions négatives. D’importants marchés ont enregistré un ralentissement. Ces facteurs ont été exacerbés par les incertitudes liées au Brexit. La production industrielle et chimique a enregistré une croissance nettement plus lente que prévu. La demande en provenance d’un grand nombre d’importants secteurs, notamment l’industrie automobile, a fortement reculé.

« Malgré un environnement économique difficile, nous sommes parvenus à accroître notre résultat dans tous nos segments proches des consommateurs. Cet accroissement n’est malheureusement pas parvenu à compenser le recul enregistré dans le secteur des produits chimiques de base », a indiqué Martin Brudermüller. L’EBIT avant effets exceptionnels des segments Materials et Chemicals a chuté de 2,2 milliards d’euros à 1,8 milliard d’euros. L’important recul des prix des isocyanates, la réduction des marges sur les produits de craquage, les arrêts planifiés pour maintenance des installations de craquage et une demande dans l’ensemble affaiblie ont pesé lourdement sur ces chiffres.

Dans les segments proches des consommateurs, BASF a en revanche enregistré une nette amélioration par rapport à l’année précédente : l’EBIT avant effets exceptionnels du segment Industrial Solutions a considérablement progressé, en raison notamment de la diminution des coûts fixes, d’effets de change positifs et de l’augmentation des marges. L’EBIT avant effets exceptionnels du segment Surface Technologies a également nettement progressé. Dans le segment Nutrition & Care, l’EBIT avant effets exceptionnels a augmenté légèrement grâce à la nette amélioration du secteur Care Chemicals. Dans le segment Agricultural Solutions, l’EBIT avant effets exceptionnels s’est considérablement accru. « Les activités acquises par Bayer ont enregistré une évolution très réjouissante et ont grandement contribué à l’accroissement du chiffre d’affaires et du résultat », a indiqué Martin Brudermüller.

Au cours de l’exercice 2019, l’EBIT du groupe BASF a reculé de 6,0 milliards d’euros, pour s’établir à 4,1 milliards d’euros. Par rapport à 2018, l’EBITDA avant effets exceptionnels a reculé de 11 % pour s’établir à 8,2 milliards d’euros. L’EBITDA s’est élevé à 8,0 milliards d’euros, par rapport à 9,0 milliards d’euros en 2018. Le résultat après impôts et intérêts minoritaires a progressé pour s’établir à 8,4 milliards d’euros, par rapport à 4,7 milliards d’euros l’année précédente. Ce chiffre contient un bénéfice comptable d’environ 5,7 milliards d’euros résultant de la déconsolidation de Wintershall à la suite de sa fusion avec DEA.

Évolution du chiffre d’affaires et du résultat du groupe BASF au quatrième trimestre 2019

Au quatrième trimestre 2019, le chiffre d’affaires a chuté de 2 % par rapport au même trimestre de l’année précédente pour ressortir à 14,7 milliards d’euros. Les volumes et les prix ont reculé respectivement de 1 %. Les effets de variation du portefeuille se sont élevés à – 1 % à la suite du transfert à Solenis des activités dans le secteur des produits de traitement de l’eau et du papier. Chiffrés à + 1 %, les effets de change ont eu un impact légèrement favorable sur l’évolution du chiffre d’affaires.

L’EBIT avant effets exceptionnels s’est élevé à 765 millions d’euros, progressant ainsi de 23 % par rapport au quatrième trimestre 2018. Cette hausse est due à une forte augmentation des résultats des segments Agricultural Solutions, Nutrition & Care, Industrial Solutions et Surface Technologies. Dans l’ensemble, ces segments sont parvenus, au quatrième trimestre, à compenser largement le net recul enregistré par les segments Chemicals et Materials.

Les effets exceptionnels de l’EBIT se sont élevés à moins 305 millions d’euros, par rapport à moins 151 millions d’euros au quatrième trimestre 2018. Au quatrième trimestre 2019, des dépenses exceptionnelles ont été générées, essentiellement imputables aux Autres activités et au segment Industrial Solutions. Les dépenses imputées aux Autres activités provenaient de la mise en œuvre du programme d’excellence. La cession de l’activité pigments de BASF n’a eu qu’un impact unique sur le segment Industrial Solutions. Au quatrième trimestre 2019, l’EBIT a reculé de 2 % pour s’établir à 460 millions d’euros.

Flux de trésorerie du groupe BASF en 2019

Le flux de trésorerie des activités d’exploitation a reculé de 465 millions d’euros à 7,5 milliards d’euros par rapport à 2018. Le flux de trésorerie résultant des activités d’investissement s’est élevé en 2019 à moins 1,2 milliard d’euros, par rapport à moins 11,8 milliards d’euros pour l’exercice précédent. Les décaissements pour immobilisations corporelles et actifs incorporels se sont établis à 3,8 milliards d’euros, en légère baisse par rapport à l’année précédente. En 2019, les versements résultant des cessions d’activité ont augmenté d’environ 2,5 milliards d’euros par rapport à l’exercice précédent. Cette évolution s’explique par les apports de liquidités intervenus dans le cadre de la fusion de Wintershall et DEA. Les décaissements pour acquisitions se sont établis en 2019 à 239 millions d’euros, par rapport aux 7,4 milliards d’euros de l’année précédente, qui englobaient essentiellement le paiement du prix d’achat à Bayer.

Malgré un net recul du flux de trésorerie des activités d’exploitation, le flux de trésorerie disponible s’est établi à environ 3,7 milliards d’euros, par rapport à 4,0 milliards d’euros en 2018.

Atteinte des ambitieux objectifs fixés en matière de durabilité

BASF s’est fixée comme objectif de parvenir à une croissance neutre en CO2 d’ici 2030. L’entreprise s’est ainsi engagée à maintenir au niveau de 2018 les émissions de gaz à effet de serre de ses sites et de ses achats d’énergie tout en augmentant la production.

Par rapport à 2018, les valeurs absolues des émissions de gaz à effet de serre de BASF ont reculé en 2019 de 8 % pour s’établir à 20 millions de tonnes. Ce recul est principalement dû à l‘arrêt de grandes installations, notamment afin de procéder à des travaux de maintenance planifiés. Des contrats de fourniture d’énergie ont par ailleurs été adaptés et des mesures ont été mises en œuvre pour augmenter l’efficacité énergétique et optimiser les processus.

Pour l’année 2020, BASF mise sur un accroissement des émissions au niveau de celles de 2018, notamment en raison de la réduction du nombre d’arrêts de grandes installations et de la reprise des activités de polyamide de Solvay.

Proposition de dividende de 3,30 euros par action

« Nous voulons augmenter notre dividende par action chaque année. Nous accordons une priorité absolue à une politique de dividendes prévisibles et progressifs. Nous proposerons donc à l’Assemblée générale un dividende de 3,30 euros par action », a indiqué Martin Brudermüller. Ce montant correspond à une augmentation de 10 cents. Dans l’ensemble, il sera proposé à l’Assemblée générale de verser 3,0 milliards d’euros aux actionnaires de BASF. Ce montant est entièrement couvert par le flux de trésorerie disponible en 2019. BASF offre ainsi à nouveau un rendement du dividende intéressant de 4,9 %.

Mise en œuvre de la stratégie de BASF

« L’année 2019 nous a permis de mettre en œuvre notre stratégie d’entreprise avec énergie, passion et dynamisme. La restructuration de notre entreprise, la réduction de la complexité, la rationalisation de l’administration et la simplification des processus ont marqué le début de l’année », a expliqué Martin Brudermüller. Une grande partie des prestations de service fonctionnelles ont été attribuées aux secteurs d’activités. Au 1er octobre, 20 000 collaborateurs dans le monde avaient franchi cette étape. En outre, le groupe s’est doté d’une centrale rationalisée comptant quelque 1 000 collaborateurs. La nouvelle unité Global Business Services est opérationnelle depuis le 1er janvier. Ses quelque 8 800 collaborateurs proposent, sur demande et à l’échelle internationale, des services en interne, notamment dans les domaines des finances, du contrôle de gestion, des achats et de la chaîne d’approvisionnement, avec pour objectif de consolider la compétitivité des activités de BASF.

La mise en œuvre de la stratégie n’est cependant pas encore achevée : « Les principales mesures ont été prises. De nombreux détails devront encore être réglés cette année », a souligné Martin Brudermüller.

Toutes ces mesures sont destinées à permettre à BASF de remettre le cap sur une croissance rentable, fortement axée sur le client et l’agilité.

Accélération de la mise en œuvre du programme d’excellence

BASF a donné un coup d’accélérateur au programme d’excellence. « Nous sommes convaincus que nous parviendrons à atteindre notre objectif annuel de contribution à l’EBITDA de 2 milliards d’euros d’ici la fin 2021 », a déclaré Martin Brudermüller. En 2019, des contributions positives à l’EBITDA de l’ordre de 600 millions d’euros ont été atteintes, pour des coûts d’environ 500 millions d’euros. Pour l’exercice en cours, BASF prévoit une contribution à l’EBITDA comprise entre 1,3 et 1,5 milliard d’euros en raison de l’accélération de la mise en œuvre. Les coûts uniques associés sont évalués à quelque 300 à 400 millions d’euros.

La rationalisation de l’organisation a également été accélérée. BASF avait annoncé la suppression d’environ 6 000 postes à l’échelle mondiale d’ici fin 2021. Ce chiffre sera désormais atteint dès fin 2020. L’année dernière, BASF avait déjà procédé à 3 100 suppressions d’emploi à travers le monde.

Gestion active de portefeuille

BASF a mis en œuvre toute une série d’opérations de gestion de portefeuille. L’une d’entre elles s’est achevée le 31 janvier 2020 avec la reprise des activités de polyamide de Solvay. Le prix d’achat s’est élevé à 1,3 milliard d’euros. « Nos clients profiteront de cette reprise. Nous avons complété notre portefeuille, renforcé notre présence régionale et amélioré la sécurité d’approvisionnement », a indiqué Hans-Ulrich Engel.

BASF est parvenue à un accord avec Lone Star dans le cadre de la cession des activités de chimie du bâtiment pour un montant de 3,17 milliards d’euros. La conclusion de cet accord est prévue pour le troisième trimestre 2020. L’activité pigments mondiale de BASF sera intégrée à l’entreprise japonaise de fabrication de spécialités chimiques DIC. Le prix d’achat s’est élevé à 1,15 milliard d’euros. La conclusion de cet accord est prévue pour le quatrième trimestre 2020.

L’année dernière, la fusion de Wintershall et DEA a par ailleurs été conclue, entraînant la création de la plus grande entreprise indépendante européenne de prospection et de fabrication. BASF détient 72,7 % des parts de Wintershall Dea et LetterOne en détient 27,3 %.

« L’intégration est en bonne voie et s’achèvera vraisemblablement en décembre 2020 », a indiqué Hans-Ulrich Engel. Nous prévoyons à partir de 2022 des synergies à hauteur d’au moins 200 millions d’euros par an. L’entrée en bourse devrait avoir lieu au cours du deuxième semestre de cette année, en fonction des conditions du marché. »

Succès du rachat des activités de Bayer

BASF évalue positivement le rachat des activités de Bayer dans le segment Agricultural Solutions. « L’intégration des activités s’est achevée en l’espace d’un an. Ces activités ont engrangé en 2019 un chiffre d’affaires de 2,2 milliards d’euros et ont contribué pour plus de 500 millions d’euros à l’EBITDA avant effets exceptionnels », a précisé Hans-Ulrich Engel. « Notre objectif est de parvenir à enregistrer en 2025, grâce à ce rachat, un chiffre d’affaires supplémentaire situé aux alentours des 500 millions d’euros. Nous pensons être en bonne voie pour y parvenir. »

Perspectives 2020 pour le groupe BASF

« Nous avons constaté au cours des deux premiers mois de l’année la grande incertitude qui frappe l’économie mondiale. Le coronavirus est un facteur supplémentaire qui, en ce début d’année, pèse très fortement sur la croissance chinoise notamment. Un affaiblissement de la demande et des pertes de production dans de nombreux secteurs sont les premières répercussions visibles des mesures prises pour endiguer la propagation du virus », a indiqué Martin Brudermüller.

BASF s’attend à ce que les effets négatifs liés au coronavirus se feront ressentir à l’échelle mondiale notamment aux premier et deuxième trimestres 2020. Ces prévisions ne tiennent pas compte d’une propagation mondiale du virus, qui nuirait considérablement à l’économie mondiale au-delà du premier semestre de l’année. « Nous ne pensons pas cependant que les effets du coronavirus pourront être entièrement compensés dans le courant de l’année », a souligné Martin Brudermüller.

BASF prévoit par conséquent un net ralentissement de la croissance de l’économie mondiale par rapport à 2019 (2,0 % par rapport à 2,6 %). En ce qui concerne la production chimique mondiale, l’entreprise prévoit une croissance de 1,2 %, nettement inférieure à celle de 2019 (1,8 %). Un tel pourcentage correspondrait à la plus faible croissance enregistrée depuis la crise financière de 2008/2009.

BASF mise sur un prix moyen du pétrole de 60 USD par baril de Brent et sur un cours du change de l’euro de 1,15 USD.

« Nous voulons accroître notre chiffre d’affaires à une fourchette située entre 60 et 63 milliards d’euros, et ce, même en cas de persistance des difficultés et de l’incertitude », a indiqué Martin Brudermüller. L’EBIT avant effets exceptionnels du groupe BASF devrait atteindre entre 4,2 et 4,8 milliards d’euros (par rapport à 4,5 milliards d’euros en 2019). Le retour sur capitaux investis (ROCE) devrait se situer entre 6,7 % et 7,7 % (par rapport à 7,7 % en 2019) et donc être inférieur au coût du capital de 9 %.

« Nous misons sur une légère croissance de la plupart des industries dans lesquelles nous sommes actifs. Nous prévoyons cependant une poursuite du recul de la production dans le secteur automobile », a expliqué Martin Brudermüller. BASF base ses perspectives sur la poursuite des conflits commerciaux qui opposent les États-Unis à ses partenaires commerciaux. L’entreprise part en outre du principe que le Brexit n’entraînera pas de répercussions conjoncturelles graves au cours de la phase de transition.

Investissements dans une croissance organique

Martin Brudermüller a par ailleurs présenté les perspectives en matière d’investissements. BASF prévoit ainsi d’investir 23,6 milliards d’euros au cours des cinq prochaines années. Plus d’un tiers de ce montant sera investi entre 2020 et 2024 dans des secteurs porteurs de croissance, à savoir les deux projets d’envergure en Asie (le nouveau site Verbund dans la province de Guangdong et le grand complexe chimique dans le port indien de Mundra) et le domaine d’activité des matériaux pour batteries.

« La principale modification concerne l’orientation régionale des investissements », a expliqué Martin Brudermüller. « En effet, nous dédierons au cours des cinq prochaines années 41 % de nos investissements à la région Asie-Pacifique et 34 % à l’Europe ». À titre de comparaison, la période de planification comprise entre 2019 et 2023 prévoyait l’attribution de 27 % des investissements à la région Asie-Pacifique et 43 % à l’Europe. Pour 2020, BASF prévoit des investissements en biens corporels (entrées d’immobilisations corporelles sans acquisitions, investissements dans les technologies de l’information, engagements pour abandon d’actifs et droits d’utilisation résultant de contrats de location) à hauteur de 3,4 milliards d’euros (par rapport à 3,3 milliards en 2019).

Remarque:

La signature du contrat avec Lone Star le 21 décembre 2019 relatif à la vente des activités de chimie du bâtiment a eu un effet immédiat sur les informations financières du groupe BASF. Avec effet rétroactif au 1er janvier 2019, le chiffre d’affaires et le résultat de Construction Chemicals ne sont plus compris dans le chiffre d’affaires, l’EBITDA, l’EBIT et l’EBIT avant effets exceptionnels du groupe BASF. Les chiffres de l’année précédente ont été ajustés en conséquence. Jusqu’à l’achèvement de la transaction, le résultat des activités de chimie du bâtiment figurera en tant que poste distinct (« Résultat après impôts provenant d’activités cédées ») dans le résultat après impôts du groupe BASF.

 

À propos de BASF

La chimie pour un avenir durable : voilà ce que représente BASF. Nous combinons succès économique, protection de l’environnement et responsabilité sociale. Plus de 117 000 employés travaillent au sein du groupe BASF pour contribuer au succès de nos clients dans presque tous les secteurs et pays du monde. Notre gamme de produits se répartit sur six segments : Chemicals, Materials, Industrial Solutions, Surface Technologies, Nutrition & Care et Agricultural Solutions. En 2019, BASF a enregistré un chiffre d’affaires mondial de 59 milliards d’euros. Les actions de BASF sont négociées à la bourse de Francfort (BAS) ainsi que sous forme d’American Depositary Receipts (BASFY) aux États-Unis. Vous trouverez de plus amples informations sur www.basf.com.

Déclarations de nature prévisionnelle et prévisions

Ce communiqué de presse contient des déclarations de nature prévisionnelle. Ces déclarations reposent sur les estimations et prévisions actuelles du directoire ainsi que sur les informations dont il est actuellement en possession. Les déclarations de nature prévisionnelle ne peuvent être comprises comme garantie des évolutions et résultats à venir qui y sont cités. Les évolutions et résultats à venir dépendent bien plus de toute une série de facteurs, comportent différents risques et impondérables et reposent sur des hypothèses qui peuvent éventuellement ne pas se confirmer. BASF ne s’engage pas au-delà des exigences légales à mettre à jour les déclarations de nature prévisionnelle contenues dans le présent communiqué.

Cinthia Lang
Cinthia Lang
Porte-parole - Media francophones
Klybeckstrasse 141, 4057 Bâle, Suisse
Dernière mise à jour 29 février 2020