25 mars 2021
Médias

Les jeunes plébiscitent le tutorat en entreprise

Sondage exclusif IFOP pour BASF France

86 % des 18-24 ans trouvent rassurant d’être accompagné par un tuteur ou un mentor lors des premières années professionnelles, selon l’enquête IFOP réalisée pour BASF en France auprès de 1002 jeunes âgés de 18 à 24 ans

Cette attente exprimée fait écho aux mesures annoncées par le Président de la République lors de sa visite en Seine-Saint-Denis le 1er mars pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes

Pour BASF en France, c’est la confirmation du bien-fondé de son engagement en faveur de l’accompagnement des jeunes au début de leur carrière professionnelle

 

Le tutorat, vecteur de confiance

Malgré le contexte sanitaire, plus des 2/3 des jeunes (68 %) se montrent confiants pour leur avenir professionnel proche, que ce soit pour leur entrée dans cette nouvelle vie (lorsqu’ils n’ont jamais travaillé) ou pour leurs premières années (s’ils sont déjà actifs). Cet état d’esprit est renforcé par le niveau d’insertion dans la vie professionnelle. En effet, les jeunes actifs se déclarent plus souvent confiants (76 %) que les inactifs (59 %), les étudiants (63 %) ou les lycéens (62 %). Le niveau de confiance ne repose donc pas tant sur des critères sociaux que sur la situation personnelle et l’insertion dans la vie active, source de sérénité et de sécurité.

 

La quasi-totalité (86 %) des jeunes interrogés ont reconnu le caractère rassurant de l’accompagnement en entreprise par un tuteur. Un jeune sur trois l’affirme même avec conviction (31 % de « oui, tout à fait »). Cette opinion se manifeste en outre de manière homogène quelle que soit les critères sociaux, l’âge ou le degré d’insertion dans la vie professionnelle. L’accompagnement par un tuteur peut ainsi être vu à la fois comme une manière de pérenniser et consolider la confiance manifestée par une majorité de jeunes, et comme un filet de sécurité pour ceux qui se déclarent moins confiants pour leur avenir, en particulier ceux qui ne sont pas encore insérés dans la vie professionnelle.

 

Le recours à un tuteur est considéré par les jeunes comme un élément déterminant pour débuter une carrière dans les meilleures conditions (84 %). Ce facteur est considéré comme très important, au même titre que d’autres enjeux centraux comme le niveau d’autonomie (93 %), le salaire (93 %) et l’ambiance de travail (97 %).

 

Enfin, les résultats du sondage soulignent l’importance de l’enjeu du digital pour les jeunes. Dans le cadre d’une recherche de travail, 7 jeunes sur 10 affirment que le degré de digitalisation contribue à les faire choisir une entreprise par rapport à une autre. Cette tendance est plus marquée chez les jeunes franciliens et chez les lycéens (81 %).

 

BASF, une culture d’entreprise axée sur le tutorat et la jeunesse

 

Leader mondial de la chimie, BASF accompagne les jeunes dans les débuts de leur carrière professionnelle. C’est historiquement une des priorités de ce groupe allemand et la marque d’une culture dans laquelle l’apprentissage est une voie d’excellence valorisée par les familles et par les entreprises. L’Allemagne compte en effet trois fois plus d’apprentis qu’en France (et plus que tout autre pays européen) et présente un taux de chômage des jeunes trois fois moindre ; le plus faible d’Europe.

 

Chez BASF en France, le mentorat est par ailleurs un outil utilisé pour favoriser l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Le programme « Leadership au féminin » mis en place en 2018 a ainsi bénéficié à deux promotions de six femmes, accompagnées par des mentors, tous membres du Comité de direction. Objectif : renforcer leur leadership et développer leur réseau. Il vise plus largement à résoudre le problème de la sous-représentation des femmes aux postes à haute responsabilité.